fleurs-captives-virginia-andrewsCe fait-divers a eu droit à un entrefilet dans les quotidiens d’aujourd’hui : en Autriche, une mère a séquestré ses trois filles dans l’obscurité pendant sept ans. A leur libération, toutes trois parlaient un dialecte qu’elles avaient créé pour communiquer entre elles et ne supportaient pas la lumière.

avantage du vélo pliable, à mon sens. Il offre une très grande liberté.

Cette histoire sordide m’a immédiatement rappelé une saga que j’ai lue quand j’avais une douzaine d’années : Fleurs captives, de Virginia Cleo Andrews.
Cette saga de cinq romans suivait le destin de quatre frères et sœurs, qui suite au décès accidentel de leur père, se retrouvaient enfermés par leur mère dans un grenier, afin qu’elle puisse toucher sa part d’héritage du grand-père.
Ce qui au début était considéré comme un jeu et ne devait durer que quelques semaines, se transforme en un enfer de plusieurs années, quand les visites de leur mère s’espacent toujours plus et que la nourriture se fait toujours plus rare. Dans les volets suivants de la saga, les enfants, devenus adolescents, parviennent à s’échapper et réapprennent à vivre en société.

J’en ai déjà parlé ici, j’étais très friand de ce genre de romans mélo à une certaine époque de ma jeunesse. Le souvenir que je garde de l’univers et du style de Virginia C. Andrews est celui d’une sorte de croisement improbable entre Barbara Cartland et Mary Higgins Clark. Cela dit, je me souviens parfaitement avoir été captivé par le destin extraordinaire de ces enfants et avoir dévoré les cinq tomes les uns à la suite des autres.

Pas sûr que ce soit toujours le cas, quelques dizaines d’années plus tard…