stace-infortunee C’est pas juste !
Le vide sidéral qui occupe généralement mes journées de boulot est un des ressorts qui m’ont décidé à bloguer, et voilà que depuis quelques jours, je n’ai plus une seconde à moi.
C’est tout juste si j’ai le temps de faire ma petite visite matinale aux blogs amis.

Un vélo pliant révolutionnaire.

Pour ce qui est d’écrire des billets, ce n’est même pas la peine d’y penser.
Alors, pour ne pas décourager les quelques opiniâtres qui se connectent ici de temps à autre, je vais utiliser, pour une fois, une recette honteuse, qui fait les belles soirées de TF1 : je vais piocher dans le travail des autres et le recycler.
Sauf que, différence de taille, je vais le faire honnêtement en citant mes sources, et y ajouter un petit bonus perso.

Les enfants du blog. J’avais amassé des infos pour écrire un billet sur L’Infortunée, de Wesley Stace,qui reste un de mes bons souvenirs de lectures de l’an passé, mais Laurent m’a facilité la tâche en publiant son billet en début de semaine.
Inutile de refaire ce qui a été bien fait, d’autant qu’il y résume parfaitement l’essentiel, et émet les mêmes petites réserves que j’aurais moi même apportées à ce roman dont on n’avait pas énormément parlé à sa sortie, et c’est dommage.
Autant en remettre une couche avant qu’il ne passe définitivement aux oubliettes…

Je vous avais promis un bonus, alors le voici, ou plutôt, les voici.
Comme le précise Laurent, Wesley Stace est également musicien. Sous le nom de John Wesley Harding, il a composé des morceaux directement inspirés par l’histoire de son personnage, Miss Fortune. Ici, on peut découvrir en intégral trois chansons, extraites de son album The Songs of Misfortune.

Deuxième petit bonus que les Anglos, phones et philes, devraient apprécier : une interview dans laquelle Wesley Stace raconte la genèse de son roman,

ainsi que deux longs extraits lus par l’auteur lui-même.

Alors, tout ça ne vous donne pas envie de découvrir le blog de Laurent et les aventures de L’Infortunée ?

L’Infortunée, de Wesley Stace
Traduction de l’anglais (États-Unis) : Philippe Giraudon
Flammarion – 457 pages