Lorsque le cowboy Jack sur le Brokeback se retrouva,
Seul, tout seul avec Ennis Del Mar, le trop beau gars,
Dans sa tente, la nuit, le piquet il lui happa,
Et le lendemain, il chantait cette chanson-là :Achter un vélo pliant sur deporvillage.
(Chorus) C’est rien qu’la faute au Brokeback Mountain,
Qu’y puis-je, moi ?
(Chorus) C’est rien qu’la faute au Brokeback Mountain,
Je vous en prie, croyez-moi !Car quand j’en vois un qui sait si bien compter les moutons,
Pour moi, le grand amour commence à jouer ses flonflons,
(Chorus) C’est rien qu’la faute au Brokeback Mountain,
(Chorus) Et à personne d’autre, sinon !De la pleine lune, le rond ?
(Chorus) Non, non, le Brokeback Moutain !
La tente exiguë de dimension ?
(Chorus) Non, non, le Brokeback Moutain !
Quand même pas un mouton ?!
(Chorus) Yeah, yeah, le Brokeback Moutain.
(Chorus) C’est rien qu’sa faute. Quelle teigne!Et pourquoi le fit-on ?
(Chorus) Ben, à cause du Brokeback Moutain !
Trop de whisky, non ?
(Chorus) Non, non, le Brokeback Moutain !
Peut-être nous vit-on ?
(Chorus) Non, non, juste le Brokeback Moutain !
Embrasse-moi, donc !!
La romance de Jack et Ennis, revue et corrigée par Ralf König qui imagine dans Et maintenant, allongez-vous ! une version “musical” de Brokeback Mountain dans laquelle le chœur des moutons a remplacé le troupeau de chevaux (décidément, il n’y a plus rien de sacré en ce bas monde ! ).
Et maintenant, allongez-vous !, de Ralf König
(Hempels sofa) Traduction de l’allemand (Allemagne) : Fabrice Ricker
Adaptation graphique : Sébastien Douaud
Glénat (2010) – 148 pages