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C’est chaud bouillant chez Harlequin.
Et je ne fais pas allusion ici à leurs collections coquines, Audace ou Spicy.

« Eau de rose 100 % frelatée. »
Les correctrices d’Harlequin sont en colère et elles le font savoir dans un article de Rue89.

ce qui les rend incompatibles avec ces vélos pliants.

A les lire, corriger les textes de la célèbre maison d’édition n’a rien d’une romance à l’eau de rose : non seulement les cadences seraient infernales, mais en décomptant les espaces, Harlequin payerait ses correctrices (rémunérées au nombre de signes) 20 % en dessous du tarif prévu par la convention collective de l’édition ! Un stratagème qui, selon l’une d’elles, situerait leur salaire « largement en dessous du SMIC ».
Cerise sur le gâteau (de mariage) : pourtant engagées en CDI, elles n’ont pas droit au treizième mois comme les autres salariés !

Résultat, la lune de miel entre les correctrices et leur employeur tourne au vinaigre : sept d’entre-elles ont saisi les prud’hommes, bien décidées à défendre leur espace vital !

Lire la totalité de l’article sur Rue89.