« Les mains dans le dos, la femme s’arrête devant une étagère et commence à examiner le dos des volumes, penchant la tête à gauche si le titre et le nom de l’auteur se lisent de bas en haut, à droite si c’est de haut en bas. »
El ultimo lector, de David Toscana (page 82)

Voilà une question qui a toujours turlupiné le pragmatique que je suis : pourquoi les informations portées sur les dos des livres changent-elles de sens d’un livre à l’autre ?
Selon les pays et les usages, je veux bien comprendre que les sens de lecture puissent différer, mais pour un même pays, n’y a-t-il pas de règle établie ?
Ça serait tellement plus confortable de ne plus avoir à risquer le torticolis chaque fois qu’on furète dans les rayons des librairies ou des bibliothèques.


Vélo-électrique-pliant-VELOMINI.

Hier soir, dans ma boîte aux lettres, j’ai trouvé un trésor :

  • Le DVD de Where angels fear to tread, film de 1991 tiré du roman d’E.M. Forster, à la distribution grandiose et prometteuse : Helen Mirren, Helena Bonham Carter, Rupert Graves, Judy Davis… (et en V.O.!)
  • Sanctuaire, de Faulkner.

Il y a des jours où je bénis La Poste… mais surtout Lilly !