Pas vraiment le temps de bloguer ces dernières semaines. Depuis un moment, mes journées se partagent entre les prises de têtes relatives aux travaux (je m’aperçois que malgré mes efforts, j’ai toujours du mal à communiquer avec les huîtres), les derniers cartons à terminer en vue du déménagement imminent, et les dossiers “hyper-urgents” à boucler au boulot. Alors, pour avoir quelques nouvelles de mes dernières lectures, faudra être patient.
Si je sors de mon silence forcé, ce n’est pas pour vous asséner ces détails triviaux de ma vie qui n’intéressent que moi, mais pour réagir à la décision de Cuné de mettre fin à son aventure bloguesque. Quoi qu’elle en pense, sa contribution quotidienne à notre petit cercle de lecteurs compulsifs va nous manquer, à nous qui nous étions habitués à son ton libre et ironique. L’espoir d’un nouveau rendez-vous à l’horizon de la rentrée nous empêche d’être trop tristes.
En attendant de te retrouver ailleurs et autrement, bon vent à toi Cuné et à bientôt !
Et comme, dans la vie, tout commence et finit par une chanson, spéciale dédicace !


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James Ensor – Baignades à Ostende (1890)